Avec un retour dans les années 40 et 50, en quelques films, la section Le Film Noir Mexicain a permis de mettre en lumière un genre qui traduit l’obsession de la décadence morale d’un pays, née en partie de son urbanisation croissante.
Crepusculo (1945) de Julio Bracho, Los Dineros del Diablo (1953) de Alejandro Galindo, La Diosa Arrodillada (1947) de Roberto Gavaldon, Distinto Amanecer (1943) de Julio Bracho, Double Destinée (La Otra, 1946) de Roberto Gavaldon, Mains Criminelles (En La Palma de tu Mano, 1950) de Roberto Gavaldon, La Nuit Avance (La Noche Avanza, 1952) de Roberto Gavaldon et Que Dios Me Pardone (1947) de Tito Davison.
Steve Le Nedelec